Jean Louis Aspirot
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Carta al Señor POMBO

Cher Monsieur Pombo

Je vais m’exprimer en Français car je ne maitrise pas suffisant bien la langue de Cervantes.

Dans l’un de vos derniers éditoriaux, vous me prenez à partie, en ce qui concerne la métaphore que j’ai utilisé lors de la première vidéoconférence organisée par le Consejo Jacobeo ;

En deux mots je me présente :

Je suis le responsable depuis 10 ans du bureau des pèlerins de St Jean pied de port, secrétaire général de l’As Amis du chemin de St Jacques Pyrénées Atlantiques et accessoirement Hosvol ces 9 dernières années, avec mon épouse, sur le Camino Frances.

Certes je n’ai aucun titre « ronflant » du genre expert du chemin, ou historien ou spécialiste du chemin ou que sais-je encore , mais je pense, très modestement pouvoir en parler un petit peu.

A la réunion dont il est question, je ne représentais pas la France, ou la Gaule comme vous la nommez (terme un peu insultant parfois !) mais Notre association et la Fédération Française des As du chemin de St Jacques de Compostelle (environ 50 Ass.),et cela à l’invitation du Consejo Jacobeo et de AMCS.

Si j’ai utilisé cette métaphore, qui n’a d’ailleurs offusqué personne. C’est parce que depuis St jean Pied de port partent chaque année un nombre important de pèlerins au long cours (61014 en 2019), dont 90% d’étrangers, qui vont se désaltérer au robinet de la fontaine de Roland, là-haut dans les Ports de Cize, avant d’ouvrir le robinet de la fontaine à vin d’Irache, ce que n’auront pas la chance d’avoir les cheminant des 100 derniers kilomètres, qui devront se contenter de sources plus modestes.

Pour en revenir à votre jugement, il est dommage que vous n’ayez pas eu connaissance de notre message au Consejo Jacobeo, lors de leur invitation, pour auriez pu juger que nous avons une attitude très modeste et attentive par rapport à la situation sanitaire du moment, mais vous avez préféré avoir une réaction a priori, dommage….

Pour finir, je dois vous avouer que j’étais assez « fan » de vos analyses sur le chemin, mais je crains que votre attitude m’amène à mettre un « bémol » à mon enthousiasme, mais je pense que cela vous importera peu et ……vous aurez raison, cher monsieur.

Une bonne journée.

Jean Louis ASPIROT

Fernando Cristó...
Imagen de Fernando Cristóbal Otxandio

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El verano pasado fui a pie desde  Roncesvalles hasta Roma. Los grifos y la fuente al revés jajaja!. !Qué bonito fue "bajar" a St Jean de Pied de Port! ! Qué genial la idea de plantar frutales a la vera del camino en el País Vasco francés! ! Qué chulo el gite de Navarrenx! ! Qué suerte tenemos de teneros como vecinos!

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Jean Louis Aspirot
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Muchas gracias por sus amables palabras

Sandalio
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A Roma!! !!!!!! Que envídia Fernando!!!!! ;.y a su vez que admiración. 

Saludos. 

sag
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Aprés avoir été hospitalero, l'été dernier j'ecrivis un e mail au Bureau des Pélerins de Sant-Jean-Pied de Port, en exprimant comment bien informés étaient ceux qui avaient été reçus là. Suivez avec votre tache!

Santi

Jean Louis Aspirot
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Merci Santi, muy amable

garaiko
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Bonsoir Monsieur Aspirot,

J éprouve une certaine tristesse, en vous lisant,  à cause de la diatribe qui vous met en cause pour un commentaire à priori sans animosité de votre part  mais, ce qui est compréhensible, a pu blesser votre sensibilité. Tristesse du fait de l' inestimable apportation de Monsieur Pombo comme de la vôtre  pour le bien des pèlerins et la dignité du Camino. Par contre, n'y aurait-il pas un peu de chauvinisme de part et d'autre?            Pour moins que pour un incident de ce genre les états d' époques révolues mobilisaient leurs armées!  Non, je plaisante, car heureusement les pèlerins nous sommes des humbles citoyens du Monde. Je ne peux que vous encourager à sauvegarder l'enthousiasme  avec lequel vous travaillez sur le plan de votre association.

Adeitasunez

 

 

 

 

 

Jean Louis Aspirot
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C'est bien Mr Pombo qui a utilisé le terme "chauvinisme", moi je m'en refére uniquement aux chiffres, rien de plus, rien de moins.Merci qaund même pour vos encouragements, l"incident" ne changera rien à l'enthousiasme qui nous animent  mon association et moi même.

Isidro García
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Bonjour Monsieur Aspirot

En attention a vous, j vais aissyer de ecrire a la langue de Moliere (au Camino, moi, je préfere parle français vers l'anglais, parce que les pèlegrins anglophones, d'habitude, n'essaint pas parler autre langue que l'anglais. C'est lourd).

Je pense, Monsieur Aspirot, que vous ne devreiz pas derange pour le mot "galo". En espagnol, ce mot n'est pas blessant, et c'est synonyme de français. Peut-être, c'est un ressource pour ne répetter pas le même mot.

 A ma premiere fois, a mon premier jour au Camino, j'ai marché entre Ostabat et Saint-Jean. J'ai pensé que l'esprit de pèlerinage rend nécessaire marcher pour la France, au moins un jour. Et, je ne m'ai pas trompé.

Saint-Jean est vraiment, et je suppose que vous, Monsieur Aspirot, avez quelque responsabilité; une ville que vivre par et pour le Camino. Malheuresment, beaucoup de pèlegrins ne choisissent pas le debut a la France. Dommage pour touts. Pour les pélegrins, pour Saint-Jean, pour la route jacobéenne. Chaque jour change, pour le pire, l'atmosphere du pélerinage. Et l'esprit se perd.

 Et c'est por ça que vous, Monsieur Aspirot et Monsieur Pombo, deux personnes qui aiment le Chemin de Saint-Jacques. Et plus encore, vous recherchez le même esprit et vous travaillez beaucop pour garder-le, ne pouvez pas avoir de différences entre vous. A ces temps si difficile que arrivent avec le maladie du Covid,le Camino de Santiago a besoin de votre travail ensemble.

 Utreia. Et Buen Camino

Jean Louis Aspirot
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Bonjour Isidro

Je suis assez d'accord avec vous sur vos analyses. Toutefois je dois vous préciser qu'en 2019 ,6132 Espagnols ont commencé le le chemin à St Jean ( 3 ieme aprés Français et USA) ce qui est beaucoup. Lorsqu'on leur demande pourquoi ils ne partent pas de Roncesvalles ou Pamplona, ils disent qu'il est important pour eux d'avoir fait cette grande étape ( petit orgueil castilan!!!! jeje); Et deuxieme chose, je crois savoir, mais peut être est ce une erreur? que lorsque l'on traite quelqu'un de" Gallego" en Espagne, on lui donne une conotation rustre,primaire..... En Français le terme Gaulois a à peu prés la même conotation, c'est donc pour moi un peu insultant, chose que je n'ai pas faite vis à vis de Mr Pombo.

Je souhaite à votre Pays (et au notre)de sortir trés vite de cette situation tragique, pour notre bien à tous, celui des pèlerins et celui du chemin , qui j'espére rendra reviendra à une forme plus humaine et fraternelle.

Jean Louis Aspirot

garaiko
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Faisons justice  à M.Pombo, le terme "galo" n'a en espagnol aucune connotation péjorative vis à vis des Français. Comme l' in-dique M.Garcia, c'est pour éviter une répétition, au même titre que"luso"" pour un Portugais ou euskaldun pour un Basque.

Hurrengo arte!

 

sag
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Beacoup de nous avons grandis en lisant les aventures d'Asterix, et jamais j'avais pensé que le mot Galo pourriat avoir une connottion périorative. En fait, un journal espagnol appelait hier La Galia espagnole á une ville qui a resisté l'entrée de tout Coronavirus.

Jean Louis Aspirot
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Euskalduna= euskerra duena, claro que no es peyorativo. Ni ere Euskaldun naiz eta euskerra mintzatzen dut.  "Luso"= diminutivo de lusitaniano vedad? tampoco me parece peyorativo. En el post siguiente SAG habla de Asterix y Obelix, muy buen ejemplo. Los Autores Uderzo y Gociny eran Belgas, y como lo sabes entre Franceses y Belgas  existe una pequeña "guerrilla' de bromas; en su obra subrayan y caricaturan los defectos de los Galos, pero con grande TALENTO! tengo toda su obra en mi bliblioteca. Talento que no tienen los dos caricaturistas de los posts siguientes, a quienes le ha necesitado casi una pagina entera cada uno, para hacer una generalizacion de dos o tres casos particulares,pobreza intelectual!!! Egun on bat eta ongui segui

Sofía
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Nieve primavera en Santa Cilia de Jaca, marzo 2005

 

Cuando llegué a Santa Cilia de Jaca, después de bastantes días caminando en soledad cerrando la puerta de mi casa en Cataluña y sin compartir Camino con nadie, pensé que al llegar por fin a la infraestructura de albergues de peregrinos en el Camino Aragonés la cosa cambiaría. Allí encontré como único compañero de albergue a un francés que había salido de Aix Saint Provence, el cual llevaba también bastantes días caminando. Para mí era el doceavo día, un camino que deseaba si todo fluía convenientemente, que acabase frente al mar de Finisterre. Y la verdad sea dicha, entre nosotros no hubo conexión alguna. Estuvimos cada uno en un extremo de la larga mesa del comedor sin apenas articular palabra. Le ofrecí un té que rechazó. Me pareció una situación algo extraña. Cuando me soltó un rollo infumable sobre que el Camino francés existía  gracias a ellos, los franceses, no entré al trapo. Que si le Puy, Vezelay, le Tours, eran las rutas más importantes de Europa, patatín y patatán. A continuación dijo, al observar que hacía o recibía llamada de teléfono, que él no permitiría el uso de los móviles en el Camino. Como remate final, no le pareció nada bien que subiese la temperatura del termostato para poner en marcha la calefacción (hay que decir que estaba nevando fuera), ya que en su opinión era un despilfarro para tan solo dos personas. Es posible que llevara razón.

Pensé por un momento en zanjar la conversación y en consecuencia liberarme de su  compañía e ir dormir al hostal de al lado, prescindir del albergue en el que se paga diez euros  por una habitación con cama grande, parquet en el suelo y con tele por tan solo catorce euros, precio especial para peregrinos. Me lo había enseñado un rato antes su propietaria, además de ser la cartera del pueblo y de la misma familia propietaria de la tienda de comestibles. Decidí quedarme en el albergue.

El peregrino francés no tenía o no quería compartir nada de su Camino, el no hacerlo no me preocupaba, ya que de entrada, no soy muy locuaz con desconocidos ni estaba en situación para ponerme a debatir cual era lo más o menos importante de los Caminos a Santiago.
Afortunadamente a las dos horas aparecieron un trío de yayos alemanes y un matrimonio japonés llegados de Jaca, con quienes pude hablar de forma distendida aunque solo fuese de tipos de platos, sopas o recetas de cocina. Finalmente me hizo sentir más cómoda el pasar por alto algunos comentarios, el no entrar en disertaciones sobre la “la importancia de llamarse Ernesto”, o la “importancia de ser honesto”, pequeño desvarío - juego de palabras, título de la obra de teatro de Oscar Wide -  es decir, lo que serían en su opinión, los originarios, legítimos propietarios del Camino Francés en tiempos de Aymeric. Aunque hemos de reconocer que el Camino se inició a través de los franceses.

Al cura francés, Aymeric Picaud, le atribuyen ser el primer autor de una guía descriptiva de viajes. Le tacharon de que sus opiniones eran sesgadas, subjetivas, de exagerado y terruñero que viene a ser sinónimo de “padecer” algo de chauvinismo, muy propio de los galos. 

Isidro García
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Estimada Sofía.

Personas con menos capacidad para la comunicación existen en todo sexo, en toda edad, en toda nacionalidad, en toda religión, en toda clase social. Como dice nuestro refrán: una golondrina, no hace verano.

 Yo mismo, me reconozco poco empático, con los peregrinos de países de habla inglesa, por la certeza que tienen de que el resto del mundo debe hablar su lengua (y por supuesto, bien). Tal vez alguno de ellos, por mi actitud, piense que los españoles somos unos desagradables

garaiko
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Cuanto nos cuesta despojarnos de nuestros prejuicios! Abrir mente y corazón a gente de diferente país, cultura y manera de pensar no contribuye a un enriquecimiento personal?

Mejor sumar que restar,  en pro de un espíritu de "fraternité" entre peregrinos del planeta.

Sofía
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Yo hablo medianamente bien a parte del castellano pues soy bilingue ,  el catalán, francés, e inglés de manera que en el camino puedo comunicarme bastante, además suelo caminar fuera del tiempo de verano y la inmensa mayoria son extranjeros, lo cual casi siempre es obligado hacerlo, además me gusta practicar un poco. El año pasado visité seis o siete paises y me esforcé por conocer las palabras básicas para pedir café, dar los buenos días, etc. porque eso va conmigo ,,,,,,,,    en cuanto a los que nos visitan - España es el segundo o tercer pais más turístico del mundo -  deberían hacer un esfuerzo por comunicarse minimamente en nuestra lengua, es una cuestión de respeto a nuestra cultura y al lugar que visitas, sin que nadie, ni el foráneo ni el que visita, se vuelva un desagradable y si educado, lo más importante  ser respetuoso.

 

En relación a mi etapa de primavera del 2005, mi diario de Camino, es de hace algunos años pero  no le quito ni un punto ni una coma, ya que fue eso lo que vivi en ese día. y así lo dejé escrito.

 

garaiko
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Gente rara hay en todas partes, Sofía, y aparte no siempre caemos bien a todo el mundo!

Penedo
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Hola a tod@s. No tenía pensado entrar a comentar absolutamente nada del tema que se trata en este post, en primer lugar, porque creo que el señor Pombo sabría decir lo que creyese conveniente y por el transcurrir del post denoto que no entra al trapo, señal de inteligencia, y en segundo lugar porque, ya personalmente, creo que generalizar acarrea "per se" injusticia y huyo de generalizaciones, aunque a veces cuesta bastante.

 

Hice el Camino de Le Puy dos veces, en el año 2.016 y en el 2.018, o sea, curtido entre "gabachos" si que estoy, tanto como para tener mi propia idea, de lo diferentes que somos, y no solo a la hora de caminar, pero esa ya es otra historia. No es cuestión de entrar en "batallitas camineras"

 

La primera vez hice Le Puy - Conques, con mi amigo Paco59, coruñés (algún defecto es normal que tenga) y residente en Francia desde hace bastantes años y experto peregrino en el Camino de Le Puy, creo que ya lo caminó una siete u ocho veces, eso si, al llegar a Roncesvalles, se volvía, abrumado por la "marabunta". Él me iba introduciendo en las características de este Camino, peculiaridades, etc. etc. Entre los detalles que más insistía era que aprendiera algunas palabras del francés que me vendrían bien conocer (Boulangerie, Epicerie, Gîte, Presión, etc. etc.). Le agradecí, como era lógico el consejo, pero apostilló, con más razón que un santo, que era más por una cuestión de como me verían los franceses, que por el hecho en si. Pronto me di cuenta de lo acertado del consejo, al percatarme como valoraban mi esfuerzo con el idioma.

 

Pero si algo me llamó la atención entre todos sus consejos, fue la insistencia, entre el "chascarrillo y el pitorreo", en que me decía que el Francés era el único peregrino del mundo, que era capaz de ir desde Roncesvalles a Santiago sin decir ni una sola vez Buenos días o Buen Camino, te dirían, apostillaba, Bon jour ó Bon Chemin. Ingenuamente creí que sería una de las muchas exageraciones a las que somos tendentes entre nosotros.

 

Me equivocaba. En un Camino de dos meses, día arriba o abajo, pues coincides con los mismos sujetos, parejas, bien aquí o allá, pero aunque solo sea de vista, los conoces y por educación saludas con el clásico "Bonjour Madame, etc.", siempre te contestan esbozando una sonrisa de agradecimiento por el esfuerzo. Así ocurrió con un matrimonio, seguramente abuelos, en varias ocasiones, Conques, Cahors, Navarrens y algún otro sitio más que no recuerdo.

 

Pero........llegué a "terreno patrio". Ya me había olvidado de ellos, vamos, ni los recordaba, y ante mi sorpresa, me los encontré subiendo La Faba. Y digo sorpresa, porque eran muy de autobús, ya me entendéis. Cuando los veo, los saludo con un "Buenos días" normal y corriente y recibí un Bonjour que a mi me resultó hiriente. Me planté. Con educación, pero firme, le hice ver que yo en Francía me había esforzado por integrarme, por hablar el poco francés que sabía del Bachiller y lo que me habían refrescado en la memoria, y que era lógico que ellos hicieran lo mismo. Esforzándose, dijeron Buenos días, pero...... ya cuando me iba, caminaban más despacio, oigo un Bon Chemin de despedida, que me hizo ver que no valía la pena.

 

Se suele decir, y con bastante razón, que en Francia se camina entre franceses y en España con el mundo, y no es una frase hecha, es así. Diferentes peregrinos, alemanes, suizos, algún austríaco, ya cerca de los Pirineos, me hacían saber entre risas y gestos, que ya estaban muy cerca de España, “tapas, vino, sol, etc.” o sea, lo típico, no cortándose ni un pelo en menosprecios por el trato recibido de algunos franceses. Yo como no podía mantener una conversación con ellos, me abstuve de dar mi propia experiencia, que podría engordar sus propias convicciones. El austriaco, traductor en mano, me decía que parecía evidente que algunos franceses estaban aún esperando a Napoleón, mi carcajada fue estruendosa os lo aseguro.

 

Mi experiencia fue variopinta en Francia, si es cierto que denotas que te ven como a un “lobo blanco”, así nos llamaban el primer año, por lo raro de los españoles en Le Puy, y con un cierto aire, no muy diferente al que nosotros tenemos con nuestros hermanos portugueses, se que me entendéis, pero en general, luces y sombras, pero no puedo obviar que deseaba llegar a España, por el idioma, la gente, la comida, etc. etc. Lógico.

 

Para acabar y sin ánimo de molestar lo más mínimo, decir que un peregrino ya muy curtido en mil Caminos me decía antes de ir al Camino de Le Puy la primera vez, que el Camino de Le Puy es espectacular, de lo mejor que ha caminado, pero que caminar en Francia tiene un pequeño problema, hay muchos gabachos ejerciendo como tales y que ese “chauvinismo” del que hacen gala, dificulta de alguna manera el Camino, eso si, también decía que no le gustaba generalizar. Ya éramos dos.

 

Perdonar lo extenso del texto.

 

Bo Camiño.

Sofía
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Penedo, carallo !! tendrías que haber hecho más caso a Roberto, q e p d. ( de cabo a cabo), le mencionan su libro como muy aconsejable  en "lecturas para el confinamiento", no sé si le llegaste a conocer, de Bilbao pero afincado en Barcelona, decía con su ironía acostumbrada que con la cantidad de Caminos que hay en la Peninsula Ibérica, paqué paqué atravesar los Pirineos,,,, jejejjeje, ahora en serio, felicitades por ese enorme Camino.  Salut !!!!

Penedo
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Hola a tod@s. Hola Sofía. Yo era de la misma opinión de Roberto, pero mi amigo Paco59 me insistía que tenía que ir al Camino de Le Puy, que dada mi profesión, no me lo podía perder. Le costó convencerme, pero al final lo hizo con una sola foto, la imagen me impactó de tal manera que me propuse ir y hacerle caso. ¿Que foto me mandó?, pues nada más y nada menos, que el Claustro de Moissac.

 

No quedó otra que verla "in situ" y la verdad que me quedé maravillado. Pongo la foto abajo y añadiré algunas más en otros post, que acabaron, todas ellas y bastantes más, por hacerme repetir.

 

Un saludo Sofía.

 

Bo Camiño.

Penedo
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Catedral de Le Puy

Penedo
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Reproducción de la Piedra Rosetta en Moissac, localidad donde nació Champollión, descubrdir del lenguaje egipcio. Hay en Moissac un Museo muy interesante de cuestiones egipcias.

Penedo
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El puente de Valentré en Cahors, muy bonito, pero no se olvida por lo bonito, más bien por la brutal subida del día siguiente.

 

No se el motivo de que algunas fotos salgan torcidas, misterios de la tecnología o lo más seguro, que soy un minusválido informático.

amancio
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Caminar en Francia es un placer, y de verdad que los franceses en Francia son mucho más amables y afables que cuando cruzan los Pirineos; Allí, en su país, están relajados, te ayudan, charlan contigo, van a su aire... pero es cruzar a Roncesvalles y se transfiguran, se sienten minoría, amenazados, o yo qué sé, se agrupan entre ellos ("clique" es la palabra francesa) y se cierran a los demás, hacen el camino por España, si se me permite la expresión "con el culo apretao", todo lo contrario que en su tierra. Hay excepciones a este tipo de comportamiento, por supuesto, pero la mayoría se quedan paralizados al llegar a España, de hecho, de los franceses que caminan por Francia, la inmensa mayoría, muy poquitos llegan a cruzar a España y casi todos se dan la vuelta en SJPP o en Roncesvalles como muy lejos, incluso ni llegan a quedarse una noche en España, van a buen ritmo para coger el autobús por la tarde y dormir en suelo francés ese mismo día.

 

Dicho esto, estoy con el de Porriño: caminar por Francia es una maravilla, yo llevo dos septiembres seguidos yendo, y cada vez me gusta más! Es cuestión de acostumbrarte a otra realidad, otra cultura... e intentar chapurrear el francés!